Dans ce cas là, par exemple : l’image de ce brin d’herbe, à la forme parfaite, saisi intégralement par la lumière, qui ressemble à de la calligraphie arabe, est fécondé par le titre que vous lui avez donné. il acquiert une signification mystique : il dit la solitude de l’être humain, son désir d’élévation, sa désespérance profonde… L’intellect féconde l’image et lui donne toute sa signification, sa profondeur… Au fait… C’est quelle lettre de l’alphabet ? :))
Margotte,
Certes la poésie est affaire d’imaginaire, de sensations mais il existe une jouissance de l’intellect… Comprendre, c’est prendre avec soi, c’est aussi réaliser l’unité… Une autre voie à explorer… Savez-vous que les mathématiciens parlent de beauté d’un théorème dans sa perfection et qu’ils éprouvent l’émotion esthétique ?
Si je peux goûter avec plaisir des plaisirs intellectuels, il en va autrement des théorèmes des mathématiciens qui, pour tout dire, me laissent d’une froideur de marbre (de Paros, le marbre tout de même…). ;-)
Dans ce cas là, par exemple : l’image de ce brin d’herbe, à la forme parfaite, saisi intégralement par la lumière, qui ressemble à de la calligraphie arabe, est fécondé par le titre que vous lui avez donné. il acquiert une signification mystique : il dit la solitude de l’être humain, son désir d’élévation, sa désespérance profonde… L’intellect féconde l’image et lui donne toute sa signification, sa profondeur… Au fait… C’est quelle lettre de l’alphabet ? :))
Ce n’est pas vraiment une lettre mais c’est plutôt bon signe
Quand la simplicité devient beauté… Et pour el duende : ce livre est pour vous
http://leblogdemargotte.unblog.fr/2010/07/25/couleurs-de-linvisible-de-sylvie-germain/
Margotte,
Certes la poésie est affaire d’imaginaire, de sensations mais il existe une jouissance de l’intellect… Comprendre, c’est prendre avec soi, c’est aussi réaliser l’unité… Une autre voie à explorer… Savez-vous que les mathématiciens parlent de beauté d’un théorème dans sa perfection et qu’ils éprouvent l’émotion esthétique ?
Si je peux goûter avec plaisir des plaisirs intellectuels, il en va autrement des théorèmes des mathématiciens qui, pour tout dire, me laissent d’une froideur de marbre (de Paros, le marbre tout de même…). ;-)