Entre chien et loup, ces asphodèles ressemblent à une multitude de lampes égrainées ça et là… dans leurs solitude dressées. Une photo empreinte de mélancolie que les touffes jaunes (?) tentent d’égayer…
Irradiante lumière, comment ne pas penser à ces deux vers sublimes : “Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèles, les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.”
Des lampions qui curieusement s’éclairent d’autant plus que le soleil s’efface, c’est tout à fait cela.
La prolifération des asphodèles (à certains endroits, des pans entiers de collines) est assez impressionnante.
@ Ray : un autre genre de poésie, plus pratique celle-là : “la tige se mange rôtie, les graines grillées, et la racine se mélangent à la chair des figues”. Théophrate (4e siècle av.JC)
Entre chien et loup, ces asphodèles ressemblent à une multitude de lampes égrainées ça et là… dans leurs solitude dressées. Une photo empreinte de mélancolie que les touffes jaunes (?) tentent d’égayer…
La nuit arrivera doucement, au fur et à mesure telles des lampions l’asphodèle s’illumine. Splendide Georges ! splendide. Merci de ce partage
Irradiante lumière, comment ne pas penser à ces deux vers sublimes : “Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèles, les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.”
Des lampions qui curieusement s’éclairent d’autant plus que le soleil s’efface, c’est tout à fait cela.
La prolifération des asphodèles (à certains endroits, des pans entiers de collines) est assez impressionnante.
@ Ray : un autre genre de poésie, plus pratique celle-là : “la tige se mange rôtie, les graines grillées, et la racine se mélangent à la chair des figues”. Théophrate (4e siècle av.JC)